Le groupe d’électronique français spécialisé dans l’aérospatiale, la défense, la sécurité et le transport terrestre vise un recrutement de 4000 personnes sur le sol hexagonal en 2022.
Selon le site Boursier qui relaie l’information, « Thales recrutera 4000 personnes en CDI/CDD et 2500 jeunes en contrats de stages et apprentissage, vecteurs clés de formation et d’embauche au sein du Groupe. Les recrutements se répartissent sur les 46 sites de Thales couvrant 7 régions : Nouvelle Aquitaine, Ile-de-France, Centre Val-de-Loire, Grand Ouest, Provence-Alpes-Côte-D’azur, Rhône-Alpes et Occitanie ».
En ce sens, le groupe « recherche en priorité des profils d’ingénieurs logiciels et systèmes ; d’experts en digital et cyber sécurité, domaine dans lequel le Groupe recrutera 1000 personnes ; des spécialistes en intelligence artificielle ou big data ; ou encore des responsables projets ».
Airbus vise 1500 recrues en France
Dans le même temps, Airbus s’apprête à recruter 1500 personnes en France dans les filières dédiées à l’aviation, aux hélicoptères et à la défense, relaie Actu Toulouse.
Le média précise que sur les 1500 emplois créés par le géant franco-allemand dans l’Hexagone, 600 d’entre eux gonfleront sa filière dédiée à l’aviation civile, aujourd’hui en totalité centrée dans la Ville rose. Et cela, depuis le transfert des usines de Nantes et Saint-Nazaire vers Airbus Atlantic.
500 autres sont destinés à l’activité Defence & Space, entre Toulouse et Elancourt (Yvelines). Les 400 derniers entreront dans le giron de Airbus Helicopters, basé à Marignane (Bouches-du-Rhône) et Paris Le Bourget.
Toulouse a le vent poupe
Pour rappel, le mastodonte français des services du numérique, Capgemini, a également officialisé en septembre dernier une campagne de recrutement toulousaine comprenant 900 contrats en CDI supplémentaires, dont 150 jeunes en alternance.
40% des 900 postes prévus à Toulouse profiteront en effet à de frais diplômés, issus d’écoles du territoire partenaires. Encourageant, donc, en cette période de pandémie particulièrement néfaste pour la sphère des actifs.