Une récente étude de la plateforme britannique d’appartements meublés, Nestpick, a placé Nantes à la 36ème position (sur 85) du classement mondial des villes où il est conseillé de travailler dans une start-up.
Selon Ouest France, qui relaie le document, le chef-lieu Loire-Atlantique « profite de la qualité du système de soins et du nombre de jours de congés accordés pour s’imposer comme une référence française et internationale. »
Si Nantes se classe troisième au niveau hexagonal, elle devance malgré tout des mastodontes tels que Tokyo, New York ou encore Los Angeles Un constat singulier que Nestpick mesure via 10 critères bien distincts, à l’image du « niveau de salaire, de la sécurité, du niveau d’imposition ou encore du coût de la vie. »
L’innovation au cœur de la stratégie municipale
La ville tire ainsi son épingle du jeu « par la qualité et l’homogénéité de ses scores » en attestant d’une dynamique favorable pour l’investissement et le développement économique :
« Ici, la qualité du système de santé et l’égalité des sexes comptent autant que le niveau de salaire ou l’écosystème dédié aux start-ups. Et les places fortes de l’économie internationale pâtissent du coût élevé de la vie quand Nantes (en fait son cheval de bataille). »
Un des points d’évaluation fait par ailleurs nettement la différence pour les villes françaises du classement (6 au total). Il s’agit de l’efficience du système de soin où elles brillent de mille feux. A contrario, Pékin, Hong Kong ou Sao Paulo se montrent très peu convaincantes en la matière et sombrent irrémédiablement face à leurs concurrentes.
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