Lyon a reçu mercredi 9 octobre le prix de capitale française de la biodiversité 2019 sur le thème : « Climat : la nature source de solutions ». Un prix décerné par le Cerema, Plante et Cité et l’AFB.
Les trois structures ont notamment relevé les 15 565 hectares d’espaces de nature, dont 12 881 ha de terres agricoles présentes dans les 59 communes que comporte ce territoire. Sachant que 9117 ha bénéficient de périmètres de protection liés aux espaces naturels et agricoles péri-urbains.
Mais ce n’est pas tout, selon le site Environnement Magazine, « le Grand Lyon a (également surfé) sur son schéma de cohérence territoriale (Scot), ainsi que son plan local d’urbanisme et de l’habitat (PLU-H) qui (ont) défini une armature verte du territoire et des corridors écologiques (depuis) 2010.
(Autres éléments et pas des moindres retenus par le jury) : l’aménagement et la densification de la ville (permettant) de limiter l’étalement urbain, la conception de nouveaux quartiers ou de nouvelles ZAC préservant les milieux naturels et les zones humides, le développement de jardins partagés ou encore une stratégie prévoyant une gestion économe de la ressource en terres fertiles ».
Il est important de noter que l’heureuse élue a aussi fait forte impression dans la gestion de sa communication et de sa sensibilisation autour de cette épineuse problématique.
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