On lui promettait le pire, la disait enterrée, ensevelie six pieds sous terre par les échecs répétés des grands de ce monde, et notamment Google, à la fonder : la smart city, ou ville intelligente, n’a plus le vent en poupe. Caméras, capteurs et traitements massifs de données effraient plus que n’intéressent les décideurs, sans parler du grand public. Dès lors, comment la penser autrement ? Car elle pourrait bien ne pas avoir dit son dernier mot.
Le Point est revenue sur cette problématique complexe avec Jacques Priol, consultant, president et fondateur du cabinet Civiteo :
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