Une étude du cabinet espagnol, « The Center for the Governance of Change« , révèle que les Européens ne sont pas si réfractaires à ce qu’une intelligence artificielle (IA) prenne des décisions politiques pour leur pays.
En France, 25% des sondés y sont même favorables, sachant qu’à titre de comparaison, Emmanuel Macron a enregistré un score inférieur lors du premier tour de la présidentielle 2017 (24%).
Il est d’ailleurs important de noter que les Français ne sont pas les seuls habitants du Vieux Continent à ouvrir « leurs chakras ». Ces derniers sont en effet devancés dans ce classement par les Espagnols (26%), les Italiens (28%), les Irlandais (29%), les Britanniques (31%), et surtout les Néerlandais qui se montrent les plus accueillants vis-à-vis d’une “IA politisée” (43%).
Une vision schizophrénique ?
Alors véritable choix pensé, sous-pesé ou simple “fantasme temporaire” ? Quoi qu’il en soit, la question mérite d’être posée puisque « 56 % des européens se déclarent, dans cette même enquête, inquiets de perdre leur emploi au profit d’une intelligence artificielle ou d’un robot », relaie le site Objet connecté.
Qui ajoute que « deux tiers des sondés estiment que les nouvelles technologies feront plus de mal que de bien dans les dix prochaines années en l’absence de contrôles appropriés ».
A suivre donc…