Mise en place en 2016 à l’intérieur de la ceinture des boulevards pour les infractions liées au stationnement gênant ou très gênant, la vidéo verbalisation est généralisée, depuis la fin d’année 2021, à l’ensemble du réseau urbain toulousain couvert par les caméras de vidéoprotection, relaie le site de la municipalité.
Désormais, le dispositif est en mesure de verbaliser de nouvelles catégories d’infractions à la circulation, en plus de celles propres au stationnement. A savoir les remontée de sens interdit, circulation dans une voie de bus, les feux rouges non respectés…
Celui-ci permet également de forcer le respect des couloirs de bus, des pistes cyclables et des zones piétonnes. Ou encore de lutter contre le stationnement gênant en double file, sur les emplacements réservés aux livraisons les trottoirs et les passages réservés aux piétons.
Parallèlement, la vidéo verbalisation vise d’autres comportements inciviques comme les rodéos urbains, les « runs » sauvages, les débordements de cortèges festifs ou les mauvais comportements des professionnels à deux-roues.
Garantir la sécurité de tous
Il s’agit ainsi de conforter la place des piétons, en particulier les plus fragiles : personnes en situation de handicap circulant avec un fauteuil roulant, personne avec des enfants en bas âge se déplaçant avec landau ou poussette…
Depuis la fin de l’année 2021, la vidéo verbalisation s’appuie sur l’ensemble des caméras de vidéoprotection de la Ville. Elle est opérationnelle 24h/24 et 7j/7 et fonctionne sur un principe de missions ponctuelles.
Enfin, elle peut se déclencher quand des riverains ou des usagers signalent des comportements inciviques, sachant que les opérateurs de la mairie constatent les infractions au stationnement et les policiers municipaux assermentés, les infractions à la circulation.