Selon une récente étude de TravelBird, la cité phocéenne s’offre les honneurs d’un classement mettant en scène les villes urbaines touristiques les plus vertes de la planète, zones naturelles et artificielles incluses. Cette évaluation se base sur trois critères principaux : les espaces naturels, les espaces cultivés par l’homme et les espaces dédiés à la production alimentaire.
Ainsi, Marseille tire particulièrement bien son épingle du jeu en occupant une belle 11 ème place dans la catégorie pourcentage d’espace vert par personne, mais surtout la 7 ème position en ce qui concerne le pourcentage d’espace vert par rapport à sa superficie.
Comme le fait remarquer le site Made in Marseille, il est vrai que son patrimoine environnemental hors-norme – constitué par « l’immensité de ses calanques situées en lisière sud de la ville, ses plages, ses collines alentours, les îles du Frioul. Mais aussi ses grands parcs comme Pastré, Borély, Longchamp ou encore Athéna et le 26e Centenaire » – pèsent beaucoup dans la balance. Et ce, « malgré son centre-ville très urbanisé ».
Pour rappel, le site spécialisé s’est focalisé sur les principales destinations touristiques des plus importants Etats figurant au sein de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Économiques). Au final, TravelBird a retenu 50 métropoles et façonné son analyse en s’appuyant sur l’outil de cartographie, Openstreetmap.
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